Il commence dès 1989, dans le quartier de la Moskova (18ème arrondissement de Paris), à peindre des animaux de la Savane pour égayer ses ruines en péril.
Ses réalisations sont faites au pochoir, souvent rehaussées que ce soit dans les rues ou sur des supports assez bruts tels que des palissades de bois ou bien des supports métalliques.
Son message est simple : il veut du beau, de la gaieté, de la vie, là où il y a du laid, du sombre, des ruines. Son ambition : embellir la rue.
Les œuvres de Mosko représentent principalement des félins roses sur des palissades en bois, mais aussi sur zinc, donnant ainsi cet aspect brut.